Bonjour à tous, je m'appelle Hugo Cabon j'ai tout juste 17 ans, je suis née à Brest et j'habite à Gouesnou. Ma mère travaillant dans le social j'ai toujours été baigné dans des valeurs de solidarité. Depuis plusieurs années j'avais en tête de participer à un projet humanitaire et cet été j'ai eu l'immense chance de partir deux mois en Roumanie dans le cadre d'un service volontaire européen. J'étais volontaire au sein de l'association roumaine A.C.T.O.R, ma mission était d'organiser des activités dans les hôpitaux pour enfants et les structures d'accueils pour jeunes enfants handicapés de Bucarest. Une expérience incroyable partagé avec des volontaires de huit pays d'Europe. J'ai ressenti pendant deux mois la sensation de véritablement servir à quelque chose et d'être utile et cela n'a pas de prix. Durant mon SVE j'ai pu participer à un envoi de vêtement dans un centre pour handicapés mentaux abandonnés au Nord de Bucarest dans la région de Brasov. Nous avions envoyé plusieurs dizaines de sacs de vêtement mais j'ai rapidement compris que les besoins sont gigantesques, une centaine d'enfants y vivent et doivent leurs survie à l'engagement quotidiens d'une vingtaine d'éducateurs et ceux avec une participation financière minime de l'état.
La question ne c'est même pas poser, je devais les aider.
Ps: C'est moi en rouge sur la couverture :)
Vous me connaissez maintenant un peu mieux rentrons donc dans le vif du sujet..

Mon projet :
Il consiste à envoyer jusqu'au centre des vêtements et produits d'hygiènes collectés à Brest et ses alentours pour la période de Noël. L'hiver est rude la réception de ces vêtements sera leur plus beau cadeaux .La question de la logistique a été un assez gros casse tête, j'ai finalement choisi un acheminement par palette permettant de réduire les coûts et de permettre l'envoi de 300kg de vêtement par palette (voir devis). 300 kg peuvent paraître énorme mais au 11 novembre j'ai déjà récolté plus de 200kg de vêtements. J'ai décidé de regrouper les vêtements dans des sacs sous vide. Cela permet de gagner de la place et de les protéger de l'humidité qui peut les rendre inutilisables.
Je stock tous ces vêtements chez moi, c'est motivant car je peux voir tous les jours les sacs se remplir. Je suis en contact avec mon club de hand et mon club d'athlétisme pour organiser des points de collectes et des actions d'autofinancement.
Ainsi depuis mi-octobre je prépare des gâteaux et je les vends le samedi soir durant les matchs des équipes fanions du club.
La mairie de Gouesnou a été dès le début motivé par le projet, la ville m'aide en communiquant le projet (tracts, affiches, article sur le Gouesnou Mag et sur les réseaux sociaux de la ville).
La deuxième partie de mon projet consiste à partir jusqu'au centre en Roumanie durant les vacances de Noël pour assister aux déballages des vêtements et à rester quelques jours avec eux (dans la limite du possible). Ce sont les enfants que j'ai pu voir cet été et pouvoir contempler leurs sourires devant tous ces vêtements sera le plus bel aboutissement.
 

Bonjour à tous, je m'appelle Hugo Cabon j'ai tout juste 17 ans, je suis née à Brest et j'habite à Gouesnou. Ma mère travaillant dans le social j'ai toujours été baigné dans des valeurs de solidarité. Depuis plusieurs années j'avais en tête de participer à un projet humanitaire et cet été j'ai eu l'immense chance de partir deux mois en Roumanie dans le cadre d'un service volontaire européen. J'étais volontaire au sein de l'association roumaine A.C.T.O.R, ma mission était d'organiser des activités dans les hôpitaux pour enfants et les structures d'accueils pour jeunes enfants handicapés de Bucarest. Une expérience incroyable partagé avec des volontaires de huit pays d'Europe. J'ai ressenti pendant deux mois la sensation de véritablement servir à quelque chose et d'être utile et cela n'a pas de prix. Durant mon SVE j'ai pu participer à un envoi de vêtement dans un centre pour handicapés mentaux abandonnés au Nord de Bucarest dans la région de Brasov. Nous avions envoyé plusieurs dizaines de sacs de vêtement mais j'ai rapidement compris que les besoins sont gigantesques, une centaine d'enfants y vivent et doivent leurs survie à l'engagement quotidiens d'une vingtaine d'éducateurs et ceux avec une participation financière minime de l'état.
La question ne c'est même pas poser, je devais les aider.
Ps: C'est moi en rouge sur la couverture :)
Vous me connaissez maintenant un peu mieux rentrons donc dans le vif du sujet..
 

Les enfants du Centrul de Reabilitare Scolara de la Bradet. Des enfants en situations de handicaps rejetés par leurs familles